Le bhelgor est une monture aussi belle que puissante. Cet imposant félin est fait pour tout type de climat, des plus chaud au plus froid et doté d'une résistance conséquente. Trouvable en élevage, les bhelgors ne nécessite aucun point de monture et mieux encore, obéissent très bien à qui la possède. Carnivore, il faudra cependant rester prudent quand à leur régime alimentaire car ceux-ci ne sont pas de très bon chasseur dû à naissance en élevage.

L'éphyrin est une adorable petite créature. Batracien, elle a pourtant la faculté de voler temporairement grâce à ses paires d'ailes très fines. Petit animal, L'éphyrin tient aisément dans la main d'un adulte alors que son corps lui, petit et gonflé abhorre des couleurs chatoyantes. Les striures sur son corps s'illumine la nuit, donnant à cette bioluminescence une teinte différente en fonction de l'animal. Si acquit, celle-ci sera obtenu par l'ensemble des tribus et ajouté au bestiaire.

Les Hayéwen sont des créatures qui ont su s'adapter à leur environnement, capable de supporter des changements rapides de températures. Ils sont reconnaissables à leurs longues oreilles ce qui leur permet d'entendre l'approche d'un animal à près de 400 mètres. Vivants principalement dans le désert et se déplaçant parfois en groupe, on les voit plus souvent en couple : mâle et femelle. Créatures aux sens développés, rapides et intelligentes, ils ont plus tendance à s'attaquer aux élevages ou récoltes des hommes plutôt qu'à chasser par eux-même leur proie. L'expression rusé ou vil comme un Hayéwen n'est plus à refaire, car même s'ils peuvent être domptés, ces derniers savent faire usage de fourberie à l'égard de leur maître quand ils se laissent guider par leur instinct.

Réservé au clan O'zewah - Le Pachu’a est une créature aérienne que l’on retrouve sur les littoraux de Briareus. Le clan O’zewah est le seul à les avoir dompté pour en faire des montures volantes efficaces et rapides, afin de voyager plus aisément à travers le continent. En effet, ses longues ailes de chaire et de muscles lui permettent de voler à plusieurs mètres de haut et sur des distances importantes. Son corps est recouvert d’une peau épaisse et diversement colorée selon les spécimens. Selon leur envergure, certaines de ces créatures peuvent accueillir jusqu’à deux cavaliers, et ces derniers pourront guider leur monture grâce à de longues excroissances poussant à la base d’un long cou. Un imposant bec, ingénieusement utilisé pour pêcher le poisson, affine une tête auréolée d’une couronne de plumes servant à effrayer quelques ennemis trop téméraires malgré une taille imposante.

Les krupens sont des petites créatures errant les sables chaud d'Azzàm. Se déplaçant principalement la nuit afin d'éviter la chaleur du jour, ses créatures se retrouvent généralement dans les endroits les plus sombres et les plus frais du désert. Territoriale, un nids de krupen peut comprendre entre 100 et 200 membres. Chaque nids possède une reine, celle-ci fait habituellement entre 20 et 25 cm de haut, le poids moyens de celle-ci est dans les 17 kg. Seul, celle-ci ne représente pratiquement aucun danger, cependant là où se trouve un krupen, un grand nombre n'est jamais bien loin. Leur exosquelette les protèges des prédateurs. Leurs quatre paires de petites pattes leur offres la possibilité de se déplacer rapidement sans trop être remarqué. On prend d'abord garde à leur crocs, mais c'est le dard se trouvant au bout de leur queue qui est réellement dangereux. Celui-ci émet une toxine pouvant paralyser certaine créature. Chassant en groupe, les krupens vont d'abord tenter de paralyser leur proie avant de la dévorer vivante.

Petites créatures fragiles, stagnant sous l'eau douce, elles n'ont aucun intérêt pour l'homme. Leurs cœurs émettent une lueur puissante pour leur taille, éclairant l'eau de la source, mais disparaissant quand les Manakas sont à l'air libre où ils meurent en quelques instants. Leur origine est encore inconnue, déposé dans le bassin par une petite cascade d'eau qui s'échappe de la roche. Elles semblent vivre dans un état ralenti, leur évolution mise en pause. Leurs formes adultes restent un mystère.

Un prédateur hors pair. Ses écailles, plus résistantes que de la roche et aussi limpides que du verre, changent de teinte en fonction du paysage. Il est particulièrement dur à dénicher, principale raison du fait qu'il n'est jamais la proie, mais le chasseur. Néanmoins, même lorsqu'il est camouflé, son odeur - un relent de charnier caractéristique aux carnivores - peut le trahir, constituant ainsi un point faible dont il ne peut se défaire. Caché derrière ses écailles, le Scáth peut résister à toute sorte d'écosystème, et il n'hésite pas à traquer sa proie pendant des jours, jouant avec jusqu'à l'abattre froidement lorsqu'elle s'y attend le moins.

Le Vigan (prononcé Vi-ganne) est une créature méconnue qui rôde dans les abysses. En de rares occasions, elle se promène jusqu'à la surface et vient déchirer les filets de malheureux pêcheurs - heureusement pour eux, la bête n'est pas agressive et n'a aucune raison de les tailler en pièces. Le seul problème est son immense appétit et sa taille imposante ; le Vigan peut rapidement devenir le maître des lieux, chassant les bancs de poissons, sabotant la pêche aux environs... mais des accidents peuvent vite arriver.

Aberration connu sous le nom de Nûr-Shogh, c'est un colosse traînant sous les terres de Seldszar. Il est très rare d'en voir vu leur très longue hibernation pouvant durer de longues années. Les très rares sorties en surface de cette créature sont généralement faite lorsqu'il est en période de chasse afin de se rassasier. Son alimentation compte absolument de tout, sa puissante mâchoire pouvant briser bien des choses, n'importe qui ou quoi fera l'affaire le temps de le satisfaire. D'une férocité absolue, sa vitesse n'a d'égale que son appétit. Il est recouvert d'une puissante carapace qui met bien des années à se former, c'est pourquoi il existe très peu d'individus, de plus leur reproduction se fait très rarement. On dit qu'actuellement nul homme ou femme n'as jamais réussit à abattre une telle créature.

L'Hoek'tan est un prédateur nocturne. Il chasse en meute sur les plaines de Seldzar, dans le noir complet et absolu, et fuit la lumière coût que coût. Pour cause, l'animal ingère de l'Œil-de-nuit lors de son sevrage, lui accordant sa nyctalopie au prix d'une grave sensibilité de la rétine - une lumière vive suffit à la terrasser, à le faire fuir, lui et toute sa troupe. On peut rencontrer la bête à Briareus lors du printemps, le soir, là où sortent les femelles pour dénicher de l'Œil-de-nuit. Ses yeux portent bonheur, paraît-il.

Un animal qui mise beaucoup sur son apparence et sa taille pour faire fuir les éventuels intrus ou prédateurs sur son territoire. Il n'est pas particulièrement agressif, à moins de s'approcher du reste de sa famille ou de son troupeau. Il est assez rare de réussir à s'en approcher, de par son comportement méfiant et le fait que souvent, il n'y en a pas qu'un seul. Si vous n'en voyez qu'un à l'écart, c'est mauvais signe. C'est soit que le reste du troupeau est mort (auquel cas, mieux vaut déguerpir au plus vite, avant que ce qui n'ai tué ce mastodonte ne rapplique), soit qu'il cherche un endroit où migrer (et sachez le, ils ne le font pas pour rien !). Méfiez vous cependant ; c'est un adversaire costaud, qui ne se laissera pas abattre d'un coup. Sa peau est très épaisse, et il peut porter de puissants coup de mâchoires ou même de tête pour se défendre. Il ne court pas vite, cela dit, il est relativement facile d'y échapper.

Bien que commun au cœur de Seldszar, l'akab n'en reste pas moins redoutable. Très agressif, il loge la plupart du temps dans des galeries molles desquelles il guette les proies à proximité. Son mécanisme d'attaque repose principalement sur un jet de suc digestif, un liquide corrosif dont il se sert pour aveugler puis digérer sa nourriture. Les akab ne vivent d'ailleurs guère plus d'une demi-dizaine d'années : lors de l'incubation, l'embryon se nourrit du corps l'abritant afin de compléter sa première croissance, une mue qui lui permettra plus tard de se déplacer au travers des galeries rocheuses. L'akab est également très sensible à la lumière, un point à forte luminosité l'éblouira et le poussera à une fuite sans conditions.

Les Or'Sowys sont des créatures solitaires, vivant au large des mers. Ils sont méconnus des humains car incessibles. Seul le fait qu'un Or'Sowy mort se soit échoué sur les plages de Nelryn a permis de découvrir cette espèce. Ce sont des chasseurs solitaires extrêmement agressifs, qui sont attirés par les ombres des animaux à la surface de l'eau. Leur vision est très précaire mais leur odorat et leur ouïe ultra développés. Ils sont au quasi sommet de la chaîne alimentaire et ne craignent rien ni personne. Leurs puissantes pattes arrières leur permet de se hisser sur les rochers lorsqu'ils chassent, ou de se déplacer sur les fonds marins.

L'aquila est un oiseau de proie niché sur les hauteurs - notamment des falaises -, survolant la région en quête de petits mammifères. Souvent utilisés comme compagnons de chasse, les légendes racontent même que certains Oonkhaïs s'en servent de sentinelle, d'éclaireurs. Leurs serres étant acérées, leurs maîtres doivent s'équiper d'un renfort d'armure recouvrant l'avant-bras - ou l'épaule - pour que l'oiseau puisse s'y poser. Ils disposent d'une vitesse de pointe hors du commun, et sont capables de voler pendant des heures sans s'arrêter. Une fois morts, ils sont inutiles, bien que leurs plumes soient du plus bel effet sur certains atours.

L'ititi est un oiseau au plumage d'ivoire. Vivants en groupe, ces volatiles apprécient particulièrement les climats tempérés et mi-chaud. Mais, ils ne supportent pas la froideur de l'hiver. Dotés d'une certaine forme d'intelligence, ils sont en mesure de retenir une cinquantaine de mots. Il n'est pas rare de voir certains d'entre eux formuler des phrases entières. D'autres, au contraire, sont capables de reconnaître les formes et les couleurs.

C'est un animal à la peau épaisse, possédant un museau qui sécrète un poison pour affaiblir ses proies sur lesquels il bondit quand il se trouve sous l'eau. Par son embonpoint, c'est un animal lent, autant sur la terre, que sous l'eau, mais il est adapté aux deux milieux de vie. Ils se reproduisent deux fois dans leurs vies, sur les rivages là où ils mettent ensuite bas, y restant alors quelques semaines. Il peut marcher sur les sols marins grâce à son poids, là où il se camoufle souvent, immobile, lors de la chasse. Il est que très peu agressif quand il ne chasse pas sous l'eau. Sa peau peut être utile, comme son poison, mais il est risqué de trop le chasser au risque de le voir disparaître.

Les aarhens ne sont pas des tendres. En dépit de leur petitesse, ils sont très brutaux. Ce sont des monstres souvent enclins aux excès de rage. Ils s'acharnent sur leur proie jusqu'à ce que celle-ci rende l'âme. Une fois dompté, ils font de bons compagnons de chasse. Ils se montrent très loyaux envers leur maître. Par ailleurs les Aarhen supportent très mal la solitude et il est conseiller de lui trouver un autre compagnon, peu importe sa race pour lui tenir compagnie.

Les belvars sont des créatures domptées par l'homme depuis plusieurs siècles. Peu agressifs, on les trouve un peu partout dans les différentes tribus. Ils servent généralement de monture et peuvent porter de lourdes charges. Leur viande est grandement appréciée. Quand un Belvar meurt, on récupère sa chair pour la faire sécher. Elle sera utilisée comme ration pour les longs voyages. Leurs cornes, quant à elles, serviront ou d'ornements dans les habitations ou à fabriquer des outils résistants.

Les chambus sont des animaux calmes et affectueux lorsqu'ils sont domptés. Cette sociabilité fait d'ailleurs le grand bonheur des enfants Oonkhais chez qui ils sont très prisés. Leur comportement malicieux et joueur attire l'attention des autres tribus. Les différents clans tentent de soudoyer les Oonkhais pour obtenir des chambus.

Les dreghyus sont des créatures au gabarit colossal et à l'espérance de vie très longue. Ils passent la majorité de leur temps dans les abysses de Rhansidor. Les dreghyus possèdent un taux de reproduction relativement bas. Une femelle pond en moyenne un œuf tous les dix ans environ. À cause de leur natalité particulièrement faible, leur nombre diminue avec le temps, leur population décroit et ils deviennent de plus en plus rares. Les Dreghyus sont dotés d'une carapace si épaisse qu'aucune arme connue ne parvient à la briser. À ce jour, l'armement des tribus se révèle inefficace sur ces créatures colossales. Par chance, en dépit de leur apparence effrayante, les dreghyus ne font pas partie des entités les plus agressives de Rhansidor.

Le ciel les entourant, et la terre en dessous, telle doit être la perception du monde qu'ont les Eykos. Ces géants à la longue vie, dont le faible nombre est compensé par la discrétion vocale, fendent les cieux du début à la fin de leur vol. Leur chute, souvent synonyme de catastrophe pour qui se trouvait en dessous, est l'occasion d'un festin de plusieurs jours pour les survivants. Pourtant, les hommes retiennent de ces titans inaccessibles la course immuable, par tous les temps, à travers les cieux, ainsi que les gigantesques squelettes qui témoignent pendant des décennies de la démesure de ces créatures. L'existence d'un Eykos n'est à ce jour menacée que par ses congénères en période de reproduction, ainsi que par les catastrophes naturelles touchant son milieu de vie.

Vivant dissimulé dans la végétation, grâce à son corps semblable à un feuillage et à ses tentacules évoquant des lianes, le feune se déplace au gré de ses "rencontres", se ventousant aux autres créatures. Tandis que les plus massives ne le remarqueront guère, de plus petites apprécieront le sentiment de bien-être du au venin libéré par ses innombrables et minuscules "poils" accrocheurs. De ce fait, les connaisseurs s'en servent comme monnaie d'échange, en tant que petit "outil" de plaisir. Il faut cependant être prudent quand on manipule un feune : tenter de le retirer brusquement et la créature fera usage de son bec, infligeant une morsure extatique s'accompagnant souvent d'infections mortelles si elle n'est pas soignée convenablement et dans les temps.

Les fiscilors sont des créatures inanimées le jour. Accrochés aux troncs des arbres, ils semblent être une excroissance d'eux. Leur corps fixé à l'écorce est du blanc laiteux au brun chocolat. Lorsque vient la nuit, ils se détachent de leur point d'ancrage et se rassemblent en nuée. Ils flottent à un mètre du sol en quête de nourriture. Leurs bras libérés pendent dans le vide pour emprisonner les petits insectes, attirés par la lueur d'or qu'ils diffusent. Ceux-ci seront ingurgités sous forme liquide. Normalement inoffensif pour l'espèce humaine, les fiscilors peuvent attaquer s'ils sentent leur noyaux menacé. Leurs tentacules toxiques laissent des lésions sur l'épiderme et aveuglent s'ils sont en contact direct avec les yeux. Leur durée de vie est inconnue. Ils sembleraient qu'ils disposent d'une conscience commune reliée à leur père. Cependant, cela n'a encore jamais été prouvé jusqu'ici. C'est supposé mais pas prouvé. Dans un environnement trop chaud, ils se dessèchent et meurent.

Les gloobhos sont très nombreux. On peut les voir sur la plage, à marée basse. Ils se nourrissent des sucs produit par les plantes aquatiques. Pas dangereux, on ne cherche pas à les dompter. Ils sont chassés pour leur chair délicieuse qui est l'un des mets les plus basiques de la tribu du littoral.

Visiblement installées sur les plages de Rhansidor, ces créatures peuvent se montrer agressives. Cependant, par chance, ils ne font pas partis des créatures les plus difficiles à tuer. Leur chair est grandement appréciée par la tribu du littoral. Leur coquille servira à la construction de leur maison ou la réalisation de bijoux.

Ces fabuleuses créatures possèdent des bulbes bioluminescents dans leur dos. Les Hyrgues ne se trouvent qu'à un seul endroit du continent et uniquement de nuit. Le peuple de la forêt capture des Hyrque pour extraire leurs bubles. Ils s'en servent comme moyen d'éclairage. Ces morceaux luminescent, arrachés à ces créatures, rendent leur architecture unique et magnifique. Il semblerait que le liquide contenu dans ces bulbes possèderait des propriétés médicinales très fortes. Du fait de cette particuliarité, les Hyrgues sont encore plus convoités par les peuples.

Là encore, inutile de chercher à dompter cette créature. Si je vous dis cela, c'est car c'est un monstre redoutable vivant dans les montagnes. Ces rares spécimens sont sociables envers l'espèce humaine. Les Joagbers servent en élevage, aux Terkhels, pour le transport des marchandises. Quand arrive l'été, les Terkhels coupent l'épaisse toison des Joagbers. La fourrure coupée servira à la création de vêtements et tissus en tout genre. Les femlles sont régulièrement traitées pour leur lait. Quand à leur viande c'est l'une des plus mangé par ce peuple. Sous sa toison, le Joagber est une créature mince et élancée, presque squelettique.

Les Luzhuus sont de remarquables créatures à la musculature puissante. Ce sont des montures rapides et endurantes dont la chair comestible est aimée de tous. Il est possible de voir des élevages de Luzhuus dans certaines tribus. Du fait de leur gourmandise envers les insectes, leur présence permet aux récoltes de ne pas souffrir des parasites.

Les Morakhis sont de petites créatures d'agréable compagnie. S'ils semblent mignons à première vue, il faut savoir toutefois qu'ils sont aussi d'excellents chasseurs grâce à leur flair et leur ouïe particulièrement développés. Ils sont les familiers idéaux pour les jeunes Oonkhais qui domptent pour la première fois.

Les sales bestioles du désert dont beaucoup se passeraient bien. Les Mwolors sont particulièrement coriaces. Du fait de leur régime alimentaire très varié, il n'est pas rare de les voir rôder près des villages. Ils s'en prennent généralement aux bétails ou aux cultures. Peu craintif de l'homme, ils n'hésitent pas à l'attaquer si ceux-ci se sentent menacés. Leur peau épaisse sera transformée en cuir pour la confection de vêtement ou matériaux.

Non, vous ne rêvez pas. Cette créatures possède bel et bien plusieurs têtes ! En revanche, pour les curieux, sachez que couper l'une des têtes n'en fera pas repousser d'autre. Les Nyuriks sont rares. Bien qu'ils soient herbivores et qu'ils se nourrissent essentiellement des feuilles des arbres, ces animaux sont dangereux. Leur morsure libère un venin très puissant qui occasionne de graves problèmes neurologiques, la paralysie, la fièvre et enfin la mort.

Au fil de leur évolution, les Opaphis ont quitté les points d’eau douce dans lesquels ils vivaient paisiblement pour conquérir les airs à l’aide de leurs nageoires allongées. Cette créature peut à présent vivre dans n’importe quel milieu humide et de préférence avec une flore importante. Elle se repend facilement dans les contrées de Rhansidor et toujours en troupeau. Les mères pondent leurs œufs dans les restes de leur repas se résumant à plusieurs cadavres conséquents et dès que les jeunes Opaphis ont des nageoires assez grandes, ils prennent leur envol. Leur régime alimentaire est strictement carnivore et malgré leur petite taille, ils n’hésitent pas à attaquer en groupe de grosses proies car ces créatures ont un très fort appétit. Les petits grandissent en se nourrissant des cadavres de la pauvre victime tuée par leurs parents.

Les monstres imposants, comme les Orhosos, ne sont pas forcément dangereux. De manière générale, ils n'attaquent que lorsqu'ils se sentent menacés d'un quelconque danger. Ces créatures sont chassées par l'homme à cause de leur peau, utile à la confection des vêtements chauds et du cuir. Sa chair, quant à elle, n'est pas utilisée. Une fois cuite, elle s'avère très sèche et amère.

Ne cherchez pas à dompter les ozyrs. Ces êtres, au tempérament non agressif, ne font pas partie des créatures sauvages de Rhansidor. On ne les trouve qu'en captivité. Ils servent généralement de bétail où ils sont généralement utilisés dans les zones de récolte, pour tirer les charrettes. Il y a quelques siècles, ils furent les premiers animaux dont on usa la peau pour les premières pièces de cuir utiles aux vêtements et accessoires. Celles-ci sont très résistantes, bien que peu esthétiques.

Pour rien au monde vous ne souhaiteriez croiser ce monstre lors de vos voyages. Présent dans les marais, ce parasite s'accroche à tout animaux ou humain pour lui pomper le sang jusqu'à ce que mort s'en suive. La piqûre de cette bête est redoutable. Elle libère dans votre organisme une enzyme très puissante qui provoque somnolence, paralysie et convulsions.

Les rhakas sont particulièrement sauvages face à toute forme de vie. Par ce fait, au fil du temps, ils pourrirent la vie des hommes. Cela changea lorsque les Oonkhaïs commencèrent à les dompter pour en faire des compagnons de chasse. Grands prédateurs, on les trouve généralement en bande de trois ou quatre individus avec un mâle alpha à la tête du groupe. Les rhakas sont facilement reconnaissables de par leur pelage épais, très coloré, dont les teintes varient en fonction de l'individu.

Les shagàath sont d'étranges créatures particulièrement dévoués à leur maître. Ces animaux agiles, rapides et musclés sont les monture des Assadhins depuis des générations. À l'heure actuelle il est rare d'en trouver des sauvages dans le désert, on trouve principalement les shagàath dans des élevages de la capitale d'Azzàm et des petits villages alentours.

Ces monstres, à la morphologie étrange, sont incapables de chasser. Par conséquent, pour survivre, ces créatures se ruent sur les cadavres d'animaux se trouvant dans leur territoire. Les Snielgs n'aiment pas voir trainer des inconnus dans son territoire. Ils se montrent particulièrement agressifs envers l'espèce humaine.

Ces dangereuses créatures parcourent les plaines en troupeau. Il est aussi possible d'en croiser dans les jungles de Rhansidor. Absolument pas enclins au domptage, les ssyx s'attaquent à peu près tout ce qui bouge, si cela semble appétissant. Il y a peu à dire sur ces créatures. Il faut juste savoir qu'ils font partis des nombreux dangers de la planète.

Ces créatures sont les maîtres des plaines glacées. Depuis toujours ils ont inspiré mythes et légendes car il était rare de pouvoir les observer de près. Les thranaloss sont des animaux farouches qui apprécient guère d'être dérangés. Ils vivent en meute. Ils sont très fiers et ne se laissent pas facilement dompter. Ce sont des familiers fidèles à condition que leur maitre les traite d'égal à égal. Dans le cas contraire, ils n'hésiteront pas une seconde pour se retourner contre lui.

Animaux grégaires, ils vivent dans une troupe avoisinant les milliers d'individus. La population totale de la planète est rassemblée en un seul et unique groupe et ils se déplacent uniquement lors de la période de reproduction. Durant cette période, ils migrent au fur et a mesure dans les terres afin de quérir le plein de chair fraîche. Le seul moyen de capturé l'un de ces petits volatiles est lors de la ponte, les couples s'éloignent afin de s'occuper de leur future couvée et ils se rassembleront lorsque les oisillons pourront voler pleinement.Pendant que la femelle couve, le mâle lui apporte son met favoris – les reins humains fraîchement prélevés-. Partie uniquement mangée par ces créatures, l'humain était particulièrement apprécié durant la ponte : les petits prenaient la dose d'adrénaline dont ils auront besoin pour casser la coquille les entourant.
NB : Le corps de ces créatures est gorgé de façon perpétuel d'une très grande quantité d'adrénaline. Le manger est donc toxique, mais bien préparer par un médecin, il peut sauver des vies.